Que Faut-Il Faire ?

Que faut-il faire ?

 

Changer de camp et entrer par la bonne porte !

 

                                  Croyez ! Repentez-vous ! Convertissez-vous ! Sauvez-vous !

 

                                                     1. Croire

 

Quelle est la définition du dictionnaire Français ? Croire c’est être persuadé qu'une chose est vraie, réelle. C’est tenir quelque chose (ou quelqu’un) pour véritable, vrai, vraisemblable ou possible.

L’adhésion à cette définition, à cette croyance en quelqu’un ou en quelque chose, restera dans le domaine de votre « savoir », c’est-à-dire de votre « connaissance » et sera inscrite telle quelle dans votre mémoire. « Je crois intellectuellement » un point c’est tout.

Des milliards de gens dans le « monde » ont ce genre de foi intellectuelle. Ils croient ou ils ne croient pas, et en ce qui concerne l’existence d’un Dieu, certains avouent que pour « croire » ils doivent voir !

D’autres personnes croient qu’il existe un Dieu « quelque part dans l’Univers » ; cependant ce n’est qu’une simple hypothèse et non pas une prise de conscience réelle et puissante. Le fait de savoir ou d’avoir su ne changera rien dans leur vie personnelle.

La véritable croyance engage la conscience de celui et celle qui croit. La foi véritable est une adhésion intérieure vitale. Elle est donc personnelle. C’est DIEU qui s’approche et qui suscite ma foi et Il attend que j’y réponde avec humilité. C’est toute ma vie qui se trouve engagée par ma décision de croire. Croire que DIEU existe oblige à Le laisser jouer un rôle dans sa vie.

On est donc bien loin de ce qui se passe de nos jours au sein d’une chrétienté dite « de nom » ; et pour cause : Il ne s’agit pas de fréquenter une « église » pour être un chrétien ou une chrétienne authentique. Il ne s’agit pas de dire « je suis né (e) dans une famille chrétienne », pour être un chrétien ou une chrétienne authentique. Il ne s’agit pas de dire « Je suis un chrétien ou une chrétienne authentique parce que j’ai été baptisé (e) par l’église », pour l’être véritablement.

Pour rentrer dans le repos de DIEU, il est impératif, premièrement, de CROIRE que vous avez besoin de ce repos. Toute la Bible contient des centaines de fois le mot « croire », parce que Croire est une prise de conscience suivie d’une expérience vivante qui changera totalement votre vie, si toutefois vous acceptez qu’elle le soit. 

Croire du cœur ouvre la voie à la foi véritable


La "Parole de DIEU" (La Bible) dit : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur JESUS et si tu crois dans ton coeur que DIEU l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut". (Lettre du disciple Paul adressée au peuple Romain, chapitre 10, verset 9) 

C'est aussi si simple que cela, me direz-vous ? OUI ! C'est aussi simple que cela. Mais il faut le désirer et agir. Comment ?

  1. Premièrement, prendre conscience de votre état de péché devant DIEU et le reconnaître honnêtement,
  2. Deuxièmement, vous repentir et désirer changer de camp. C’est-à-dire accepter de passer du royaume des « ténèbres », (c’est-à-dire de la domination de Satan), au Royaume de l'Amour Eternel de DIEU, afin de recevoir l’Esprit du FILS Vivant (du Fils de DIEU) au fond de votre cœur. PERSONNE ne peut prendre la décision à votre place.
 

2. Reconnaître

Reconnaître, je dirais : se reconnaître dans le miroir que DIEU place devant soi. Au moyen de Ses paroles, de Ses jugements, de Ses Commandements regroupés dans UN Livre, (la Bible) confiée à l’humanité, Il vous montrera comment Il vous voit.

La Bible dit que « Si nous confessons nos péchés, IL est juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute iniquité ». (c/f à la première lettre du disciple Jean chapitre 1 et au verset 9).

Le SANG du Fils de Dieu versé sur le bois du « poteau d’exécution » (la croix) vous purifie de tous vos péchés. Jésus a effacé l'acte qui vous condamnait devant DIEU et vous empêchait d’avoir une communion avec votre Créateur. Plus encore, DIEU désire vous réintégrer dans Sa Famille et faire de vous un fils ou une fille du Royaume, de Son Royaume. Un fils, ou une fille qui désormais L’adore.

Mais VOUS DEVEZ FAIRE LE CHOIX. C’est une question de volonté et de foi. DIEU a fait Sa part en sacrifiant Son Fils pour que vous puissiez réintégrer Sa Famille, et Il attend que vous fassiez la vôtre.

Si vous prenez conscience que vous ne connaissiez pas votre état de péchés et de désobéissances envers DIEU, un grand pas est déjà fait. Si vous réalisez que vous étiez ignorant (te) de l’Amour de DIEU manifesté par le don de Son Fils, pour le pardon de vos péchés, il est encore possible de vous mettre en « règle » avec Lui. Car Jésus a dit : « Je ne mettrai jamais dehors celui (celle) qui vient à moi ». (Paroles de Jésus rapportées par Son disciple Jean dans son Evangile au chapitre 6 et au verset 37).

Si vous acceptez sincèrement, honnêtement, de reconnaître que le jugement que DIEU porte sur vous est un jugement d’Amour, si vous acceptez de vous reconnaître « pécheur », (pécheresse), séparé (e) de DIEU à cause de vos péchés, à cause de vos mauvaises pensées, à cause de vos mauvaises actions, et si vous confessez ces péchés, si vous en demandez le pardon, si vous acceptez que DIEU entre dans votre vie et la dirige, alors vous aurez fait le choix le plus important de votre vie.

DIEU, qui est Amour, a fait Sa part en acceptant d’envoyer Son Fils Unique sacrifier Sa vie Sainte et Pure pour « racheter » l’humanité déchue et sous l’esclavage satanique. Et il désire ardemment que vous entriez dans Son plan de « salut » et que vous le fassiez vôtre, tant que votre choix pour l’Eternité est encore entre vos mains ; demain il sera peut-être trop tard, car demain ne vous appartient pas.

Les « si » de Jésus, dans Ses enseignements, sont innombrables. Il place les auditeurs devant un choix. « Tu veux ou tu ne veux pas ». Jésus n’exige rien ! Il montre la voie qui est la meilleure afin de les inciter à rechercher Ses conseils, à suivre Ses voies qui transformeront leur vie. Il laisse à tout un chacun le choix de décider. C’est le libre-arbitre qui existe depuis la Création de l’homme, Adam et de la femme Eve. Eux-mêmes ont eu le choix : obéir au Créateur ou obéir à Satan. Leur mauvais choix a impacté toute l’Humanité qui sortirait de leurs reins.

La mort de Jésus n’est pas un évènement qui aurait pu être évité. Jésus a quitté Son Royaume Céleste et est descendu sur la terre en prenant un corps semblable aux humains, pour souffrir la mort qui vous donne accès au pardon et à une vie nouvelle éternelle.

Une vie éternelle à vivre, déjà en prémices sur la terre, et une vie nouvelle dans l’Eternité. La croix a été un magnifique triomphe, qui a eu pour nous tous et toutes une signification : notre identification avec le Fils de DIEU.

La colline sur laquelle Jésus a été crucifié, donne la mesure de la haine que DIEU manifeste envers le péché. Il a entrainé la mort volontaire de Son Fils, le messie promis, pour que la terrible malédiction qui vous frappe et frappe chaque être humain, puisse être brisée, et que selon Sa miséricorde et par votre repentance, vous puissiez être réconcilié (e) avec Lui, pardonné (e) et introduit (e) dans une relation nouvelle qui vous conduira vers la vie éternelle en Sa présence, si TOUTEFOIS vous persévérerez sur la voie nouvelle. 

DIEU ne vous pardonne pas parce qu'Il est Bon et que vous méritez quelque chose, mais parce que, devant Ses yeux, Il voit le poteau d'exécution, la croix, où Son Fil a pris sur Lui votre condamnation. DIEU le Père Céleste, le Père de l'Univers, peut vous pardonner sur une unique base : la Croix. DIEU est apaisé envers vous parce que Sa colère a trouvé son apaisement à la croix où son Fils a pris, sur Lui, votre condamnation.

                  3. Se repentir

Que veut dire « se repentir » ? : s’attrister profondément de son péché, verser des torrents de larmes de repentance, agoniser sous le lourd fardeau du péché, sont de nos jours des expériences rares.

Beaucoup de personnes expriment du remord pour telle ou telle chose qu’elles ont faites, cependant le remord n’est pas la repentance.

La vraie repentance est un changement d’attitude et de direction. La repentance fait tourner le dos au péché.

Volontairement « je renonce au péché et je demande pardon à DIEU. Je m’humilie et j’abandonne mon péché « 

« Je m’humilie devant Lui, en jugeant non seulement le mal que j’ai fait, mais aussi en jugeant la nature pécheresse qui est en moi ».

Vous acceptez de reconnaître vos torts. Vous acceptez le pardon que DIEU vous offre. Vous vous placez sous l’autorité de votre nouveau Maître, Jésus le Fils de DIEU, dans une complète soumission.

Vous le reconnaissez comme votre Sauveur et vous pouvez affirmer, sans aucun doute, qu’Il est mort pour vous, à cause de vos péchés et qu’Il est ressuscité pour votre justification auprès de Son Père, le Père Céleste, votre Père.

Il est écrit : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut ». (Lettre de Paul adressée au peuple Romain, chapitre 10, verset 9).

Désormais, il vous incombera de défricher votre champ à fond : le champ de votre cœur.

La vie avec DIEU et pour DIEU est une vie faite de combats à chaque instant afin de résister aux tentations qui se présenteront à vous, pour ne pas dévier du nouveau chemin qui s’est ouvert devant vous.

Si votre « conversion » (retour à DIEU) est sincère, vous aurez le désir de Lui plaire ; cependant votre chair, votre nature « charnelle », vendue au péché, cherchera toujours à dominer et à combattre cette nouvelle vie implantée en vous afin qu’elle ne puisse pas se développer.

C’est le combat JOURNALIER de ceux et celles qui ont accepté de changer de camp. Le disciple Paul l’a très bien exprimé dans ses écrits : « Je suis par l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché ». (Chapitre 7 verset 25 de sa lettre au peuple Romains).

Tous ceux et celles qui confessent et professent leur foi font ce même constat : deux natures s’affrontent journellement et si DIEU n’avait pas donné Son FILS en sacrifice pour expier nos fautes et nous justifier auprès de Lui, nous n’aurions aucune espérance d’être pardonnés, et sauvés de la damnation éternelle.

Nous tomberions alors dans une tristesse qui nous conduirait au désespoir et à la « mort ». Mais la tristesse selon DIEU est toute autre : « La tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort ». (c/f second écrit de Paul à l’Eglise de Corinthe, chapitre 7 verset 10).

Moi-même, je le reconnais bien, mon ancienne nature est toujours présente et combat pour ne pas être détrônée. Je suis parfois découragée ! Mais je sais que je suis cernée par l’amour de DIEU, et que rien ne pourra me séparer de cet amour.

Selon l’exhortation du disciple Paul dans sa lettre au peuple Romains, au chapitre 8 et aux versets 35 et 39, je confesse que rien ne pourra me séparer de l’amour de DIEU : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ? Ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur ».

Certes, je vis, et nous vivons tous et toutes, croyants « nés de nouveau », sous la grâce de DIEU. Nous sommes « parfaits » en Jésus. Mais ce n’est pas une raison pour continuer de pécher. Le péché que nous constatons en nous, nous oblige à réagir et agir pour retrouver notre « liberté ».

Nous devons faire notre part. Nous devons travailler à « peaufiner » notre salut afin qu’il soit « complet », par le renoncement aux œuvres stériles, par le renoncement à notre caractère rebelle, à nos désirs insensés, à nos passions dévorantes, à notre morale tordue et incompatible avec la morale divine, etc.

Tellement de défauts et de « travers » qui nous et vous disqualifient, et qui vous poussent au renoncement, à la soumission et à l’obéissance à l’Esprit de DIEU qui vit en vous. Vous convertir est l’étape suivante.

                   4. Se convertir

                     Mais qu’est-ce-que « se convertir » ?

La conversion est le point de départ d’une vie nouvelle. La conversion est un changement volontaire dans l’esprit d’un être humain naturellement pécheur, par lequel il se détourne du péché pour se tourner vers le Fils de DIEU, Jésus l’Oint du Père Céleste.

 

1.     Le premier élément de ce changement, c’est l’éloignement avec dégoût du péché : c’est la repentance.

2.    Le second élément positif, c’est la connaissance de Jésus, que l’on appelle la « foi ».

Se convertir c’est se tourner « vers », « en direction de », c’est faire un « demi-tour » ; la conversion est un retournement ; c’est une transformation intérieure radicale qui va se manifester par un mouvement extérieur, visible d’abord à soi-même, mais visible également par les autres, par ceux et celles que nous côtoyons, par ceux et celles qui nous entourent, notre famille, nos amis, nos collègues de travail, bref, nos relations.

La conversion est la part de l’être humain en vue de sa régénération, (qui veut dire : sa restauration, sa purification), qui est la part de Dieu pour lui. DIEU ne cesse de dire :  « Convertissez-vous et vivez ! Car je ne désire pas la mort de celui et de celle qui meurt ». (Paroles rapportées par le prophète Ezéchiel dans son livre au chapitre 18 et au verset 32).

Jusqu’à ce que vous entendiez la prédication de l’Evangile, vous n’aviez aucunement conscience que vous étiez pécheur (pécheresse) mais la prédication des « Paroles » de votre Créateur vous convainc de vos transgressions, de vos désobéissances ; bref elle met à nue vos péchés et vous fait prendre conscience que vous êtes coupable devant DIEU et désespérément perdu (e).

Vous êtes alors convaincu (e) de péché